L’institution de Westmount encore plus inclusive pour les garçons francophones
Environnement d’apprentissage et de collaboration
Évoluant dans l’emblématique immeuble du chemin de la Côte-Saint-Antoine, les 540 étudiants profitent d’un encadrement à la fois rigoureux et bienveillant. Surtout, ils progressent dans un environnement stimulant et enrichissant où la collaboration, l’esprit de communauté et l’entraide façonnent leurs journées.
« Notre programme académique est fort ; notre accompagnement et nos activités parascolaires le sont tout autant », explique Mike Downey, directeur général de cet établissement fondé en 1908.
Ouverture sur le monde
Selwyn House porte une attention toute particulière au français. « La majorité de nos étudiants en ressortent bilingues, ce qui constitue un atout très précieux pour le reste de leur vie », fait valoir M. Downey. Dans la foulée, il insiste pour souligner l’engagement et l’implication du corps enseignant dans les activités scolaires : « Les garçons aiment leur école et la relation conviviale qu’ils entretiennent avec leurs professeurs. Chaque enseignant connaît ses élèves, ce qui donne lieu à des échanges à la fois stimulants et respectueux. »
« Ici, la vie se passe à échelle humaine. Chaque enfant est reconnu et apprécié, et ses talents sont célébrés. »
— Mike Downey, directeur général de l’école Selwyn House
D’étudiants à citoyens
Mike Downey mentionne aussi la fierté du personnel, lequel accompagne chaque jeune « vers sa graduation, mais surtout vers sa place dans le monde, à la fois comme professionnel et citoyen », dit-il. « On ne cherche pas à formater nos étudiants, mais plutôt à les outiller pour devenir de bonnes personnes, prêtes à partager le meilleur d’elles-mêmes et à participer à l’évolution de notre société. »
Le directeur général cite Nicholas Johnson, dont l’histoire a fait le tour de l’Amérique du Nord en mai dernier. Diplômé de la prestigieuse Université de Princeton, aux États-Unis, et premier de sa promotion, le Montréalais est aussi le premier étudiant noir à avoir prononcé le discours d’adieu au sein de cet établissement universitaire. Or, il avait fait de même en 2015, à l’école Selwyn House. Le jeune homme avait alors dit : « Il est difficile de trouver de vrais bons amis ; il est pénible de les laisser derrière nous ; il est impossible de les oublier. Selwyn House a magnifiquement soutenu notre développement social et émotionnel, dans un climat d’inclusivité et de respect de la diversité. N’oublions jamais les leçons apprises. » À l’automne, Nicholas Johnson entamera un doctorat en recherche opérationnelle au Massachusetts Institute of Technology (MIT).
Question d’équilibre
Depuis plus de 100 ans, ce joyau montréalais qu’est Selwyn House perpétue une tradition de savoirs et de savoir-être, et ce, en privilégiant un équilibre entre rigueur et évolution académique, tout en valorisant à la fois les disciplines sportives, artistiques et technologiques.
Et la pandémie, dans tout ça ? « Au printemps, nos 75 professeurs ont réagi rapidement en offrant des cours à distance, indique Mike Downey. Ils ont été agiles et créatifs pour préserver la communication avec chaque étudiant. Ils étaient tous connectés, mais nous avons volontairement réduit certaines heures de cours pour éviter une surconsommation du temps d’écran. »
Demandes d’application avant le 15 octobre
À l’heure actuelle, plusieurs parents sont en réflexion quant à la meilleure école pour leurs enfants. Le directeur général Mike Downey leur rappelle à nouveau l’importance de la visite, un moment propice pour poser des questions et établir les premiers contacts.
Vous pouvez procéder dès maintenant à une visite sur rendez-vous de l’école Selwyn House. Quant aux traditionnelles portes ouvertes, dans les circonstances actuelles, elles ont été transformées en visites virtuelles hebdomadaires.